MAÎTRE TAISEN DESHIMARU
Né en 1914, maître Taisen Deshimaru suivit l’enseignement de Kôdô Sawaki, l’un des maîtres zen les plus influents du xxe siècle, en tant que laïc menant une vie de famille. Il reçut l’ordination de Kôdô Sawaki sur son lit de mort. En 1967, il quitta le Japon et vint s’installer à Paris.
Il fut le premier à transmettre la pratique du zen en Europe, où le zen n’était jusque-là qu’une connaissance livresque. En 1970, il fonda l’Association zen d’Europe, devenue aujourd’hui l’Association zen internationale (AZI). En 1972, il créa rue Pernety le temple de Parizan Bukkokuzenji, où il résida jusqu’à sa mort.
Avec une énergie et une générosité inlassables, il éduqua de nombreux disciples, dirigea des retraites (sesshin) dans plusieurs pays d’Europe, au Canada et au Maroc, créa de nombreux dojos, publia des livres écrits par lui-même ou transcrits d’après son enseignement oral et traduisit des textes fondamentaux du zen, notamment plusieurs chapitre du Shôbogenzô de maître Dôgen.
Il eut des relations amicales suivies avec Maurice Béjart, Arnaud Desjardins, Alexandro Jodorowsky, Claude Lévi-Strauss, Paul Chauchard… Nommé premier kaikyōsōkan (responsable de l’école Sôtô) pour l’Europe et pour l’Afrique, il créa en 1979 le temple zen de la Gendronnière, dans le Val-de-Loire. Il décéda en 1982, après avoir donné une grande ampleur à sa mission.
Il fut le premier à transmettre la pratique du zen en Europe, où le zen n’était jusque-là qu’une connaissance livresque. En 1970, il fonda l’Association zen d’Europe, devenue aujourd’hui l’Association zen internationale (AZI). En 1972, il créa rue Pernety le temple de Parizan Bukkokuzenji, où il résida jusqu’à sa mort.
Avec une énergie et une générosité inlassables, il éduqua de nombreux disciples, dirigea des retraites (sesshin) dans plusieurs pays d’Europe, au Canada et au Maroc, créa de nombreux dojos, publia des livres écrits par lui-même ou transcrits d’après son enseignement oral et traduisit des textes fondamentaux du zen, notamment plusieurs chapitre du Shôbogenzô de maître Dôgen.
Il eut des relations amicales suivies avec Maurice Béjart, Arnaud Desjardins, Alexandro Jodorowsky, Claude Lévi-Strauss, Paul Chauchard… Nommé premier kaikyōsōkan (responsable de l’école Sôtô) pour l’Europe et pour l’Afrique, il créa en 1979 le temple zen de la Gendronnière, dans le Val-de-Loire. Il décéda en 1982, après avoir donné une grande ampleur à sa mission.
«La mélodie du zen ne peut être limitée
par les notes d’une partition.
Elle a été créée en toute liberté
dans le vaste ciel bleu. »
par les notes d’une partition.
Elle a été créée en toute liberté
dans le vaste ciel bleu. »